Après plus de dix ans de souffrances et d’abandon, les habitants du quartier Bizango Rail respirent enfin. Une route flambant neuve, entièrement aménagée en béton armé, vient transformer le quotidien de cette zone longtemps reléguée à la marge des politiques d’aménagement. Longue d’environ un kilomètre, cette nouvelle voie met un terme à un calvaire fait de bourbiers, de longues marches à pied, et d’isolement.
Ce projet s’inscrit pleinement dans la vision du président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguema, qui a fait de l’amélioration des infrastructures secondaires une priorité nationale. Son objectif : reconnecter les quartiers oubliés, désenclaver les zones périphériques et offrir à chaque citoyen un cadre de vie digne et fonctionnel.
Pour les riverains, le soulagement est immense. « Avant, on devait marcher dans la boue pour aller au marché ou emmener les enfants à l’école. Aujourd’hui, même les taxis viennent jusqu’ici ! C’est un vrai changement », confie Monsieur Jacques, habitant du quartier depuis 12 ans. « On n’y croyait plus, mais grâce au Chef de l’État, nous avons enfin une route digne de ce nom », ajoute-t-il, le regard tourné vers la chaussée toute neuve.
Sur le terrain, des ouvriers s’affairent encore aux derniers détails. L’un d’eux, casque vissé sur la tête, explique : « C’est du béton armé, un matériau solide qui résiste à la pluie et au temps. Ce n’est pas une solution temporaire, c’est du durable. » Une précision technique qui rassure les habitants sur la pérennité de l’ouvrage.
Cette voie rénovée symbolise une politique de proximité qui prend en compte les réalités du terrain. Dans une Gabon en pleine transformation, chaque aménagement compte, chaque route ouverte est une promesse tenue, chaque projet achevé est un pas vers une République plus équitable.
Le quartier Bizango Rail, longtemps oublié, devient ainsi un exemple de la volonté affichée du président Oligui Nguema de rétablir l’équilibre territorial et d’offrir à tous les Gabonais les mêmes chances d’accès aux services de base.
« Merci au président. Grâce à lui, nos enfants n’auront plus à marcher dans la boue pour aller à l’école », conclut une mère de famille, le sourire aux lèvres.
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