Nichée dans la quiétude verte du Haut-Ogooué, Bakoumba est en train de changer de visage. Là où les forêts dialoguent avec le silence, une structure émerge : une médiathèque moderne, aux allures de hub culturel et numérique. Si les travaux avancent à vive allure (plus de 75 % de taux d’exécution), ce n’est pas un simple bâtiment qui se dresse au cœur du quartier Lelalawè. C’est une promesse tenue par le Président Brice Clotaire Oligui Nguema : celle de replacer la jeunesse gabonaise, où qu’elle vive, au centre de l’avenir du pays.
Un symbole d’équité territoriale
À Bakoumba, petite localité souvent à la marge des grands circuits économiques, le chef de l’État frappe un grand coup. Cette médiathèque – fruit d’un partenariat public-privé exemplaire entre l’État gabonais et le groupe minier Eramet-Comilog – n’est pas qu’un centre de lecture. C’est un acte de justice territoriale. Sous l’impulsion du ministre des Mines, Giles Nembe, cette initiative démontre que le développement du pays ne s’écrit pas seulement à Libreville ou à Port-Gentil, mais aussi dans les périphéries longtemps oubliées.
Dans cette dynamique, le Président de la Transition impose une nouvelle lecture du territoire : pas de Gabon à deux vitesses. D’Akanda à Aboumi, de Franceville à Makokou, la République doit être un espace d’égalité des chances. Et la médiathèque de Bakoumba en est la preuve vivante.
Un outil stratégique pour l’inclusion numérique
Loin des symboles figés, la structure abritera une bibliothèque numérique, une salle de lecture traditionnelle et un espace de conférences de 50 places. Capacité d’accueil : 150 personnes. Objectif : créer une plateforme de savoir, de débat et d’initiation aux nouveaux outils du monde.
Ce chantier s’inscrit dans la vision présidentielle d’un Gabon intelligent et souverain, où la connaissance devient un levier de développement. Ici, le numérique n’est pas une mode, mais un vecteur d’émancipation, un moyen de casser l’isolement rural, de stimuler l’innovation locale, et d’ouvrir de nouveaux horizons à une jeunesse souvent en quête de perspectives.
L’intelligence comme politique publique
Ce que le projet de Bakoumba révèle, au fond, c’est un tournant assumé dans la gouvernance Oligui Nguema : l’investissement dans l’intelligence comme stratégie nationale. À l’heure où beaucoup parient encore sur les infrastructures dures, le chef de l’État inscrit son action dans une modernité inclusive. Former, instruire, éveiller : tels sont les piliers d’une société résiliente.
Et pour Oligui Nguema, chaque localité compte. « Offrir à un enfant de Bakoumba les mêmes chances qu’à un enfant de Libreville, ce n’est pas de la charité. C’est une exigence républicaine », confiait récemment un proche du palais.
Un projet RSE exemplaire, un avenir à portée de main
Le partenariat avec Eramet-Comilog, piloté par la direction du Développement durable, ajoute à ce projet une dimension vertueuse. En s’appuyant sur la Responsabilité sociétale des entreprises (RSE), le gouvernement de Transition montre sa capacité à fédérer l’initiative privée autour d’un cap stratégique : celui du développement territorial utile et mesurable.
Dans cette médiathèque, demain, des enfants apprendront à coder, des lycéens prépareront leur bac, des enseignants enrichiront leurs cours, et des citoyens ordinaires découvriront qu’ils ont accès au même savoir que les grandes capitales africaines. C’est là la révolution tranquille du Gabon nouveau.
Bakoumba n’est plus un point perdu sur la carte. C’est désormais un point de départ. Un maillon fort de la chaîne de la reconstruction nationale. Et sous le regard attentif de Brice Clotaire Oligui Nguema, le futur du Gabon prend racine aussi dans les terres profondes.
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