« Qui paie ses dettes s’enrichit », disait feu Omar Bongo Ondimba. Contrairement aux récentes allégations mensongères diffusées dans certains médias, le Gabon dirigé par le Général Brice Clotaire Oligui Nguema a bel et bien honoré ses engagements financiers auprès de la banque mondiale. Démonstration.
L’information selon laquelle le Gabon aurait des impayés de 10,4 milliards de francs CFA est erronée et relève d’une mauvaise interprétation des faits et d’une campagne nauséeuse. Cette tentative de dépeindre négativement l’image du pays et des nouvelles autorités gabonaises est simplement ridicule et infondée. En réalité, les fonds nécessaires au paiement des dettes du Gabon sont depuis longtemps disponibles à la Banque des États de l’Afrique Centrale (BEAC). Les blocages techniques au niveau de la BEAC ont retardé les virements, et non une quelconque défaillance de la part du gouvernement de Transition. Pour preuve, ce matin même, le paiement a été effectué avec succès, confirmant ainsi la bonne foi et la solvabilité de notre pays.

Il est important de rappeler que le Gabon a récemment conclu l’acquisition d’Assala Energy sans passer par les circuits traditionnels, ce qui a suscité certaines jalousies et explique cette campagne. Il est donc évident que cette indépendance financière et stratégique semble être à l’origine de certaines accusations infondées. Le général Brice Clotaire Oligui Nguema, à la tête du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI), a clairement exprimé sa vision et sa ferme détermination à ne plus dépendre de modes de fonctionnement qui n’ont pas porté leurs fruits.
Dès son accession à la magistrature suprême, le Général de Brigade, a été clair et précis sur sa vision. Il s’est dit résolu à honorer les engagements du Gabon vis-à-vis des organismes internationaux. Malgré les fausses informations véhiculées par certains, le gouvernement gabonais demeure ferme à tenir parole, n’en déplaise aux ennemis de la Transition.
Il n’est pas surprenant de voir la Banque mondiale impliquée dans ce genre de controverse avec la République gabonaise. Un épisode similaire s’était produit sous le règne du défunt président Omar Bongo Ondimba. À cette époque, malgré les réticences de la Banque mondiale, le Gabon avait poursuivi la construction de son chemin de fer. Omar Bongo Ondimba avait alors affirmé avec détermination : « Qu’avec ou sans la Banque mondiale, nous ferons le chemin de fer, même s’il faut pactiser avec le diable. »
Le gel des décaissements annoncé par la Banque mondiale ce lundi ne reflète donc pas une incapacité financière du Gabon, mais plutôt des frictions liées à une profonde frustration. Les autorités de la Transition, sous la direction du général Brice Clotaire Oligui Nguema, travaillent activement à résoudre ces malentendus pour le bien-être économique du pays.
L’exécutif tient à rassurer la population gabonaise et nos partenaires internationaux que le Gabon reste un pays financièrement stable et responsable, déterminé à poursuivre ses projets de développement avec ou sans le soutien des institutions financières internationales.
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