Le Chef de l’État ordonne un audit rigoureux à la SEEG : la transparence exigée, sa main ne tremblera pas

Dans un contexte frappé par les scandales récents qui secouent la Société d’Eau et d’Énergie du Gabon (SEEG), le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, le Général de Brigade, Brice Clotaire Oligui Nguema, a pris une décision ferme. Cette réaction attendue du Numéro Un Gabonais est fortement saluée par les populations au regard des réactions qui ont suivi. Face aux délestages répétés et aux manquements graves constatés au sein de l’entreprise, le Chef de l’État a ordonné un audit approfondi, qui a pour but de faire toute la lumière sur les dysfonctionnements de cette structure essentielle pour la vie des Gabonais.

Le Président a été clair sur sa détermination à aller jusqu’au bout de cette démarche. Sur sa page Facebook, il a ainsi indiqué : « Face au scandale à la SEEG et aux délestages récurrents, j’ai ordonné un audit rigoureux. Tous les coupables d’actes préjudiciables seront traduits en justice. Les Gabonais méritent un service exemplaire, et je m’engage à veiller à ce que justice soit faite. » Des mots qui ne laissent aucun doute sur la nature des intentions du Chef de l’exécutif qui démontre très clairement sa volonté d’exiger des comptes.

Cet audit, confié à une Task-Force spécialement désignée, a pour mission d’identifier les failles, qu’elles soient liées à la gestion, à des fraudes potentielles ou à des décisions controversées prises par la direction actuelle. L’objectif est non seulement de désigner les responsables, mais aussi de proposer des solutions efficaces pour rétablir la situation et garantir un service public digne de ce nom.

La population gabonaise, tout comme les autorités, attend désormais avec impatience les résultats de cette enquête. L’enjeu est de taille : rétablir la confiance dans une institution qui joue un rôle essentiel dans le quotidien des citoyens. Une chose est certaine, le Président de la Transition ne tolérera aucune impunité.

Les responsables des dysfonctionnements devront en répondre devant la justice, car la transparence et l’exemplarité sont dorénavant les leitmotivs du Gabon sous l’ère CTRI.