La cité Soako a récemment bénéficié d’un souffle de modernisation grâce à l’intervention du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI). Une ruelle, située derrière la pédiatrie, a été entièrement métamorphosée, offrant aux habitants un espace renouvelé et fonctionnel. Cependant, cette amélioration est rapidement mise en péril par les activités inappropriées de certains opérateurs économiques, notamment des garagistes et mécaniciens.
Les travaux de réhabilitation, salués par la communauté locale, visaient à offrir une meilleure qualité de vie aux résidents de Soako. L’intervention du CTRI a permis de transformer une ruelle délabrée en une voie carrossable et bien entretenue, apportant ainsi une bouffée d’air frais à la cité. Malheureusement, la joie des habitants est de courte durée face aux comportements nuisibles de certains professionnels du secteur automobile.
Depuis la fin des travaux, plusieurs garagistes et mécaniciens ont installé leurs ateliers de fortune sur cette nouvelle voie, utilisant l’espace comme garage à ciel ouvert. Ces activités non seulement obstruent la circulation mais accélèrent également la détérioration de la route nouvellement refaite. Les taches d’huile, les débris mécaniques et le stationnement anarchique des véhicules endommagent déjà la surface, mettant en péril l’investissement et les efforts déployés pour la réhabilitation.
La situation actuelle à Soako met en lumière la nécessité d’une gestion rigoureuse des espaces publics, surtout après des travaux de réhabilitation. La communauté espère que des solutions seront rapidement trouvées pour maintenir les bénéfices des récentes améliorations et protéger les investissements réalisés pour le bien-être de tous.
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