Le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, le Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema, a fermement rejeté une demande d’audience émanant d’un groupe d’activistes. Il marque ainsi son refus catégorique de dialoguer avec ceux qui ont fait de l’injure, de la médisance, de l’invective et de l’instrumentalisation leur marque de fabrique.
Les événements se sont enchaînés lorsque ces activistes ont sollicité l’ambassadeur pour obtenir une audience avec le Chef de l’État. L’ambassadeur, après avoir transmis la demande, a reçu une réponse claire et définitive : non. Le Président, inébranlable, a refusé d’échanger avec des individus qu’il qualifie d’impolis et dont les pratiques, selon lui, n’honorent pas le Gabon.
Selon des sources fiables et le live de Yann Ndong le confirme, ce sont les activistes eux-mêmes qui ont émis le souhait d’une rencontre auprès de l’ambassadeur. Cette initiative contraste avec les affirmations de Jonas Moulenda, qui laissait entendre que le Président avait invité ces activistes. Le Chef de l’État n’a en réalité jamais lancé une telle invitation. En vérité, les démarches venaient exclusivement des activistes.
Ce genre d’attitude n’est pas le propre du Chef de l’exécutif, car à chacun de ses déplacements à l’étranger, il met un point d’honneur à rencontrer ses compatriotes. Ces esprits simples récoltent les conséquences des méthodes jugées peu orthodoxes par l’opinion. Ce dernier semble déterminé à ne pas cautionner des comportements qu’il considère comme nuisibles pour l’image et les valeurs de la nation gabonaise.
En refusant cette audience, le Président envoie un message fort : le dialogue ne sera possible que dans un cadre respectueux et constructif. Les activistes, quant à eux, devront repenser leurs stratégies s’ils souhaitent un jour obtenir l’oreille du plus haut représentant de l’État.
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