Dans une affaire qui a secoué l’opinion publique gabonaise, Brice Laccruche Alihanga, ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo, a été victime d’un acharnement judiciaire sans précédent. Accusé de malversations financières sans preuves tangibles, il a été jeté en prison malgré des appels internationaux à sa libération immédiate pour détention arbitraire.
Les magistrats, semblant agir comme des agents de vengeance personnelle, ont ignoré les signaux d’alarme concernant la santé alarmante de BLA. Ils ont refusé de convoquer des témoins cruciaux qui auraient pu disculper l’accusé, alimentant ainsi les accusations de fumisterie judiciaire.
L’affaire a attiré l’attention des organisations internationales de défense des droits humains, avec le Groupe de travail de l’ONU déclarant la détention de Brice Laccruche Alihanga comme arbitraire et contraire aux normes internationales des droits de l’homme. Ils ont recommandé sa libération immédiate et des compensations pour les violations subies.
Seul l’intervention du Président de la Transition a permis l’évacuation sanitaire de BLA et semble marquer la fin d’une mascarade judiciaire orchestrée. Cependant, l’affaire soulève des questions profondes sur l’indépendance de la justice au Gabon et l’influence politique sur les décisions judiciaires.
L’opinion publique gabonaise reste divisée, certains dénonçant une justice partiale et manipulée, tandis que d’autres voient en cette affaire un exemple de lutte contre la corruption. L’avenir de Brice Laccruche Alihanga et le rétablissement de sa réputation dépendent maintenant de la transparence et de l’intégrité du système judiciaire gabonais.
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