Brice Laccruche Alihanga, hier, figure puissante et imposante du régime déchu ancien messagé intime d’Ali Bongo Ondimba, continue de subir l’implacable cruauté du clan Bongo, même après sa chute. Sa situation actuelle est des plus déchirantes : souffrant d’un cancer qui nécessite un traitement médical complexe, il est devenu méconnaissable. Malgré son état de santé alarmant, il a fait preuve d’un courage inouï en se présentant à la barre ce matin.
La scène était difficile à regarder, témoignant de la détermination d’un homme à la santé fragilisée par la maladie et les injustices qu’il endure, mais qui tient à ce que la justice soit rendue au nom du peuple Gabonais qu’il a servi.
Cette comparution forcée soulève des questions graves sur l’humanité de ceux qui l’ont ordonnée. Convoquer un homme dans un tel état relève presque de l’inhumain. Ses proches et ses médecins s’inquiètent des répercussions que de telles épreuves peuvent avoir sur sa santé déjà précaire. Trop tirer sur la corde risque de la briser. Alihanga a besoin de repos, et non de ces cruelles convocations qui mettent en péril sa vie. Le silence médical sur ce dossier est assourdissant, laissant planer le doute sur la nature de certaines intentions.
Pourtant, malgré sa condition critique, Brice Laccruche Alihanga persiste à vouloir exposer la vérité sur les magouilles du clan Bongo. Sa démarche courageuse souligne la brutalité des anciens maîtres du Gabon, déterminés à écraser toute opposition, même au prix de la santé et de la dignité humaine.
Sa situation actuelle est le témoignage flagrant de ce que ces dirigeants sans scrupules veulent imposer à la population. Une question résonne : comment peut-on faire preuve d’une telle cruauté ? Heureusement, qu’ils sont aujourd’hui, à sans famille.
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