Hier, via un communiqué explicite, la Banque mondiale a confirmé avoir reçu le remboursement des créances du Gabon, réaffirmant ainsi son engagement à accompagner le pays dans la promotion d’une croissance durable, résiliente et inclusive. Ce communiqué, qui réhabilite le Gabon, vient clore un chapitre polémique alimenté par les ennemis de la Transition et les spécialistes de la critique.
Depuis plusieurs jours, une certaine frange de l’opinion publique et des médias s’était délectée des nouvelles négatives concernant le Gabon, notamment la suspension temporaire des financements de la Banque mondiale. Nombreux étaient ceux qui, dans un concert de critiques, attribuaient cette suspension à une prétendue mauvaise gestion des autorités de Transition, sous la conduite du Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, le Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema. Or, la réalité, occultée volontairement par ces détracteurs, était tout autre : la suspension était due à un problème technique au niveau de la BEAC, et non à une quelconque faute des autorités gabonaises.
La vérité rétablie, où sont les voix pour féliciter ?
Avec ce communiqué de la Banque mondiale, la vérité éclate au grand jour. Sauf qu’on constate pour le déplorer que, les mêmes voix qui s’étaient élevées avec vigueur pour dénoncer une soi-disant faillite de la Transition, se taisent face à cette actualité positive. Il est regrettable de constater que la bonne nouvelle de la Banque mondiale ne trouve pas le même écho que les critiques infondées. Il faut être cohérent avec soi-même, lorsque c’est bien, il faut aussi avoir l’honnêteté intellectuelle de le dire. Car, si on évoque les échecs et il serait bon de parler des réussites. Ne pas le faire démontre qu’il y a en réalité un agenda caché.
La Banque mondiale, dans son communiqué, a rappelé son engagement historique auprès du Gabon depuis 1963. Cet engagement se traduit par un portefeuille actuel de trois projets actifs totalisant 214,50 millions de dollars, ainsi que par des interventions significatives de la Société financière internationale (IFC) et de l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA).
Une coopération fructueuse et durable
L’engagement de la Banque mondiale avec le Gabon ne se limite pas à des financements. Il inclut également des services d’analyse et de conseil, ainsi que la capacité à travailler avec divers partenaires pour un développement vert et résilient. Ce partenariat a pour objectif spécifique de faire bénéficier directement à la population gabonaise les fruits de la croissance de leur pays, dans une perspective de long terme.
Silence coupable des spécialistes du bad buzz
Il est temps de reconnaître et de célébrer les progrès et les efforts consentis par les autorités de Transition et leurs partenaires internationaux qui ont trouvé un pays en lambeaux. Le silence des spécialistes des polémiques, face à cette réhabilitation par la Banque mondiale, est éloquent. Il est essentiel de se rappeler que la critique constructive et la reconnaissance des avancées vont de pair dans le cheminement vers un développement harmonieux pour le Gabon.
Il appartient à chacun de dépasser les discours négatifs et de contribuer positivement au développement du Gabon. Les ennemis de la Transition et les amateurs de bad buzz doivent réaliser que la réussite du pays repose sur une approche équilibrée, reconnaissant à la fois les défis et les succès. Le Gabon avance, et il est grand temps que ses détracteurs en prennent acte.
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