Pendant un mois, la Ministre des Réformes des Institutions, Murielle Minkoué Epse Mintsa, a brillamment orchestré le Dialogue National Inclusif (DNI), réunissant plus de 600 participants de toutes les forces vives de la nation. Sous la présidence de Mgr l’archevêque Jean Patrick IBA-BA, le comité d’organisation a, malgré la diversité des opinions, produit un rapport exhaustif de plus de 1000 recommandations.
Cependant, depuis quelques jours, une cabale médiatique savamment orchestrée par certains compatriotes, vise à discréditer l’ensemble du travail effectué lors du DNI. Ces accusations remettent en question la validité des recommandations et le rôle de la ministre.
Il est inconcevable de croire que Murielle Minkoué Epse Mintsa aurait pu modifier unilatéralement certaines recommandations du DNI. En tant que coordinatrice des assises, son rôle se limitait à l’harmonisation des propositions avec le bureau du comité et les présidents de commissions, et non à leur altération.
Le rapport final du DNI, remis au Président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, le 30 avril dernier, est actuellement au cœur des discussions sur la rédaction de la nouvelle Constitution de la République Gabonaise. À ce stade critique, il est impératif que les voix de la division se taisent pour permettre aux autorités de la Transition de mener à bien leur mission.
Les attaques contre la ministre et les recommandations du DNI apparaissent comme des tentatives de déstabilisation à un moment où l’unité nationale est primordiale. Le Dialogue National Inclusif a été une étape cruciale pour le Gabon, et il est essentiel de préserver les efforts déployés pour construire un avenir plus inclusif et démocratique.
Les Gabonais sont appelés à ignorer ces campagnes de dénigrement et à se concentrer sur l’avancement des réformes nécessaires pour le bien-être du pays. L’heure est à l’unité et à la coopération pour garantir la quiétude et le succès de la Transition.
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